Sans les câbles sous-marins, plus d’Internet : l’Europe est-elle prête ?

Les grandes puissances se livrent une guerre sans merci pour le contrôle des autoroutes de l’information sous-marines. 420 cables sous-marin maillent les mers de notre planète, , totalisant 1,3 million de kilomètres, soit plus de trois fois la distance de la Terre à la Lune. Le record : 39 000 kilomètres de long pour le câble SEA-ME-WE 3, qui relie l’Asie du Sud-Est à l’Europe de l’Ouest en passant par la mer Rouge.    10 000 milliards de dollars de transactions financières quotidiennes, soit quatre fois le PIB annuel de la France, transitent aujourd’hui par ces « autoroutes du fond des mers ». C’est notamment le cas du principal système d’échanges de la finance mondiale, le SWIFT (Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunications). La sécurité de ces transactions est une question politique, économique et sociale majeure.   Aussi cruciales que les gazoducs et les oléoducs, les infrastructures de communication par câble présentent une forte vulnérabilité physique comme en témoignent les incidents réguliers. On recense en moyenne chaque année plus d’une centaine de ruptures de câbles sous-marins, généralement causées par des bateaux de pêche traînant les ancres.  Ces câbles sont l'objet de convoitises de la part de nombreux Etats qui cherchent à s'approprier les flux y transitant, à en altérer le contenu tout autant qu'à se préparer à porter un coup fatal à un adversaire, en provoquant une disruption de ses communications.99% des flux transitant par les câbles sous-marins, 1% seulement par l'espace. Depuis plus d'un siècle, l'histoire militaire regorge d'illustrations de cette stratégie visant à perturber la capacité d’une puissance ennemie à commander et contrôler ses forces distantes et à assurer la continuité de la vie économique et sociale.Lire l'article complet sur : theconversation.com

Risques économique : face à une possible faillite d’Evergrande, l’exposition de la zone euro « serait limitée », selon Christine Lagarde

La présidente de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde, a relativisé vendredi l'impact qu'aurait pour la zone euro une possible faillite du géant immobilier chinois ultra-endetté Evergrande. "J'ai des souvenirs très vifs des derniers développements boursiers en Chine qui ont eu une incidence à travers le monde", mais "en Europe et dans la zone euro en particulier, l'exposition directe serait limitée", a déclaré la Française lors dans une interview donnée à la chaîne CNBC

#Risque #cyber : L’américain NortonLifeLock (#Symantec) rachète le tchèque #Avast pour 8 milliards de dollars et crée un géant de la cybersécurité

NortonLifeLock s'offre Avast pour un montant compris entre 8,1 milliards de dollars et 8,6 milliards de dollars. Le nouvel ensemble va regrouper 500 millions d'utilisateurs dans le monde et devient ainsi un géant de la cybersécurité. Une annonce qui intervient dans un contexte d'explosion des attaques informatiques.

#Rappel de #produits : Glaces, biscuits, chocolat, pains, plus de 7.000 références rappelées en raison de la présence d’un pesticide dans les graines de #sésame

Plus de 7.000 références de produits alimentaires sont actuellement rappelés et retirés des rayons, en raison de la présence possible d'un pesticide en trop forte quantité dans des lots de graines de sésame utilisés dans ces produits. La DGCCRF a mis à jour, lundi, les produits concernés.

#Rappel de #produits : Glaces, biscuits, chocolat, pains, plus de 7.000 références rappelées en raison de la présence d’un pesticide dans les graines de #sésame

Plus de 7.000 références de produits alimentaires sont actuellement rappelés et retirés des rayons, en raison de la présence possible d'un pesticide en trop forte quantité dans des lots de graines de sésame utilisés dans ces produits. La DGCCRF a mis à jour, lundi, les produits concernés.

Un #réacteur #nucléaire #EPR chinois sous surveillance après une augmentation de « gaz rares »

L'un des réacteurs EPR de la centrale nucléaire de Taishan, dans le sud de la Chine, a subi une "augmentation de la concentration de certains gaz rares" dans un circuit, a annoncé le groupe français EDF lundi, après que CNN a rapporté une possible fuite, et alors que la centrale assure que la situation est normale. "EDF a été informée de l'augmentation de la concentration de certains gaz rares dans le circuit primaire du réacteur n°1 de la centrale nucléaire de Taishan détenue et exploitée par TNPJVC, joint-venture de CGN (70%) et EDF (30%)", indique le groupe français dans un communiqué